Il est dix-neufs heures et je ne sais pas quoi faire mais j'en ai marre de glander devant la télé. J'ai vraiment besoin de bouger. Rester une heure avachit dans le canapé ce n'est vraiment pas pour moi. Mon pied sautille tellement j'ai envie de bouger. Je me lève d'un saut du canapé et me dirige vers mon armoire. J'attrape un leggings de sport et un débardeur que j'enfile dans la minute. Ensuite, j'enfile mes tennis et sors de mon appartement. Arrivé dehors je remarque qu'il pleut des cordes et que l'on ne voit aucune étoile. Le soleil viens de se coucher. La rue est éclairée pars quelque lampadaire. Je n'ai pas fait un pas que je suis trempée sous la pluie, mais je m'en fiche royalement.

Je commence a courir vers le parc, je sens l'eau coulée le long de mon visage, j'entends le bruit de mes pas dans les flaques d'eau et mon souffle régulier. Courir me détends malgré la pluie et le beau temps ça me fait toujours du bien. Mais je suis loin d'être une adepte du jogging matinal, a quoi bon se lever tôt le matin pour courir alors qu'on peut le faire un a autre moment de la journée, même pas besoin de mettre son réveil. Je regarde autour de moi, personne ne sort de chez lui quand il pleut a torrent comme ce soir. Peu d'être mouillé ou de tomber malade. Je n'ai jamais su ce que c'est d'être malade, d'avoir la varicelle ou la grippe. Je n'ai jamais eu peur de tous ces petits microbes dont tous les autres enfants devaient se méfier.

Arrivé au parc je ralentis un peu et me dirige maintenant vers le lac. Devant le lac je m'arrête et regarde les gouttes d'eau fripé la surface de l'eau. Une eau sombre, j'ai presque envie de plonger dedans de toute manière ça ne changerait pas grand-chose vue que je suis déjà trempée jusqu'au os. Á l'une des rive du lac je vois une ombre bouger, c'est une ombre humaine seule. Je demande qui d'autre que moi est asse fou pour être dehors sous une pluie pareille à cette heure si. Je m'approche de cette personne. J'identifie un homme, je mets quelque seconde à comprendre que c'est un sang pur. Mais il n'a pas l'ère de m'avoir remarqué, mais je ne peux pas m'empêcher de m'approcher de lui. « Hey ! Salut toi ! » je me mets face à lui avant d'ajouter.« T'a pas l'ère joyeux, tu sais, il ne faut pas se laisser dépité par le temps. Et encore moins rester seul comme ça. Quand je t'ai vu tout seul comme ça je me suis demander: Pourquoi pas aller discuter avec la seule personne qui se promène dans un parc toute seule en pleine nuit il doit être sympa » Je n'ai jamais fait une entrée en matière aussi nul. Mais bon je me contente de sourire un peu bêtement.